Apres une super après-midi shopping à Paris avec Gynna, je suis ressortie le soir pour me balader dans Paris, seule. J'ai pris des photos, et j'ai mangé un Hot-Dog.
Au bout d'un moment je suis arrivée dans une petite ruelle qui était assez sombre pour la vue humaine, mais moi j'y voyais assez clair. J'ai avancé. J'avoue que j'étais un peu perdue. Je continuais d'avancer, quand je vis une bande garçons saouls. Je rebroussa chemin, mais un des garçons me vit et ils coururent jusqu'à moi. L'un d'entre eux me pris par le bras, assez fort.
-Lache moi! dis-je méchamment.
Mais il ne m'écouta pas. La bande m'encercla, et me ramena là où elle était au départ. Il y avait pleins de bouteille vide par terre. Mais il en restait des pleines.
Ils commencèrent à me bousculer, alors que j'essayais de partir. Je ne voulais pas utiliser mes pouvoirs, mais je savais que j'allais etre obligée au bout d'un moment. Ils se sont mis à me fouiller les poches. Ils ont pris mon porte-feuille, ou il y avait toutes mes cartes de crédit, et les photos que je venais de faire avec Gynna.
Ils allumèrent un feu avec des briquets et des bouteilles d'alcool. Une flamme me toucha le bras, le feu était haut, et fort. Mon bras était en train de bruler.
-Aaaa!!!!!!! hurlais-je de douleur.
Au bout de quelques secondes j'arriva enfin à éteindre mon bras. La bande de garçons s'était éloigné de moi, ils étaient à quelques mettres, ils flippaient. Mon bras ne guérissait pas. Alors, je m'attaqua à un des garçons. Je les ais dabord tous hypnotisés pour ne pas qu'ils partent, ou qu'ils crient. Puis je les ai mangé, un par un. Je les ai dégustés. Puis j'ai brulé les corps de toute la bande. Puis je me suis enfouie, et je suis rentré chez moi.
Une fois chez moi, je vis mon père dans son canapé.
-Ah enfin! Qu'est-ce qui t'as pris tant de temps?
-Rien. Je me suis juste baladée. Bon, je vais me coucher. A demain papa.
Je lui fis une bise et partis me coucher. Gynna dormait déjà.
Le lendemain, nous regardions la télé. Les infos disaient :
-Une
vingtaine de corps ont étés retrouvés ce matin dans l'allée de *** à Paris. Tous brulés. La police n'a pas encore pu identifier les victimes. Mais à en juger par toutes les bouteilles retrouvées par terre, ça a l'air d'être une petite partie d'alcooliques qui a mal tournée. Nous recherchons quand même un suspect, ou un témoins. Le médecin légiste aura identifié tous les corps demain, dans l'apres midi, nous informe ce dernier. Nous vous tiendrons au courant. Maintenant passons à ...
Mon père éteignit la télé. Et il se tourna vers moi.
-Victoria?
-Oui? demandais-je normalement.
-Où étais-tu hier soir?
-Dehors.
-Où dehors? dans quelle rue?
-Je rêve ou tu es en train de m'accuser là?!
-Non je ne t'accuses pas, je te demande simplement où tu étais.
-J'étais à l'opposé de l'endroit où ces ivrognes se trouvaient.
-Où? insista mon père.
-Mais j'en sais rien moi où! Tu crois que quand je me balade, je regarde le nom des rues?!
-Ne t'énerve pas, me dit ma mère.
Ton père vérifie juste que tu ne sois pas mêler à ça.
-Oui et puis imagine que quelqu'un t'ai vu par là hier soir ma chérie, renchérit mon père.
-Et bah je n'y étais pas!
Gynna nous regardait mais ne disait rien.
-Bon maintenant vous me laissez tranquille? Ou l'interrogatoire n'est pas terminé?
Je me leva et alla dans ma chambre. Je m'assis sur mo lit, mis ma tete dans les mains, j'essuya mes larmes. Gynna rentra dans la chambre.
-Ou est ton porte feuille? Me demande t-elle.
-Hein? Euh ... Je ne sais pas. Il n'est pas dans mon sac?
Elle regarda.
-Non. Il n'y est pas.
-Bah je ne sais pas moi. J'ai du le perdre hier. Pourquoi tu le veux?
-Pour avoir les photos qu'on a prises hier.
-Bah je ne sais pas. Mince! J'ai du le faire tomber par terre, ou sinon je l'ai oublié sur le comptoir du vendeur de Hot-Dogs. Mince! Toutes mes cartes de crédits étaient dedans!
-Tu ne t'en sert pas!
-Et alors?!
-C'est pas grave.
j'entendis mon pere nous crier :
-Les filles! On va au restaurant! Vous venez?!
-Oui je viens! Cria Gynna.
-Ok. Vic?
-Non merci. J'ai pas envie de manger au restaurant.
-T'es encore vexée pour tou à l'heure?
-Je ne suis pas vexée.
-Elle est vexée! dit Gynna en sortant.
-Mais!
Je laissa tomber. Valait mieux.
Ils partirent. Moi je partis dans la Cuisine. Je pris la glaçière et l'ouvris. Je bus une poche, puis une autre, et encore une autre. Je termina la glaçière.
Quand mes parents rentrèrent, j'étais partie faire un petit tour pour expliquer que je ne savais pas pourquoi la glaçière était vide.
Je rentra, mon pere me regardais avec son regard accusateur.
-Quoi? demandais-je un peu agacée.
-Pourquoi la glaçière est-elle vide?
-J'en sais rien moi! T'as décidé de m'accuser de quoi cette fois?
-Vic', me dit Gynna.
-Gynna. Ne t'en mele pas, lui dit ma mere.
-J'étais en ville pour prendre une glace. Et pour faire du shopping, dis-je en lui montrant mes sacs. Et j'ai discutté avec Stan.
-Bon ok.
Je passa le restant de mes vacances à cambrioler les Banques de Sang de la Région.
Je n'ai rien dis ni à Gynna, ni à mon pere ou à ma mere. J'ai évité d'y penser, pour que personne ne sache que sache que j'avais un probleme avec le sang maintenant que j'avais tué cette bande de garçons.
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Mon Stan, je t'aime tellement.
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Anouchka! Mes yeux, mes oreilles, mais aussi celle qui est toute ma vie!
