Stan et le Principal 1.

31-07-2011 à 21:12:04
Il était 17h, je n'avais pas du tout envie d'aller voir le principal mais j'y était contraint. J'aurais préféré rester avec Vic'.
Je frappa à la porte.
-Entre vas-y.
J'en tra et m'assis sur le fauteuil en face du bureau.
-Je peux savoir ce que je fais ici? J'imagine que ce n'est pas pour me dire bienvenue.
-Non. C'est pour vous parler de votre bagarre de ce matin. Le règlement n'a pas changé, aucunes bgarre n'est autorisée ici. Vous le savez, Brandon le sait, Victoria, Gynna, les personnes de votre groupe le savent. Ainsi que tous les élèves de cet internat. Les règles ne changent pas pour vous, ou pour les gens de votre groupe. Et elles ne changeront pas.
-Pour Victoria elles peuvent être changée.
-Non plus. Victoria ne control rien ici. Elle n'est pas professeur ou principal adjointe, etc... Elle est élève.
-Vous avez quand meme peur de ses coups de fils je me trompe?
-Totalemment. Vous pensez tout savoir, sauf que vous ne savez rien.
-Ah oui? C'est pas ce qu'on aurait dit quand elle vous a dit que son pere était maintenant membre du Conseil Général ce matin.
-Je n'ai pas eu peur, juste un peu surpris de ne pas l'avoir su avant.
-Ouais mais vous étiez surpris quand même , c'est ça l'essentiel.
-Ce n'est pas notre sujet de départ.
-Et alors? C'est pas grave.
-Concentrez-vous s'il vous plait. Vous partirez plus vite comme ça.
-Roh! J'aime bien être ici, c'est confortable.
Je me balança sur le siège. Il leva les yeux au ciel, joignit ses mains et les posa sur son bureau en bois de chêne bien poli.
-Bref. Pour votre bagarre de ce matin...
-Il est confortable votre siège! Vous l'avez eu à combien? En fait j'ai plutot l'impression que vous ne l'avez pas payé. Vous l'avez volé. Mais oui c'est ça! Vous l'avez volé grâce à votre don d'hypnose! Vous voyez, ça c'est quand même grave! Vous avez le droit d'utiliser vos dons pour avoir ce que vous voulez, alors que vous nous enseignez le contraire. C'est mal! Vous savez, vous ne devriez pas faire ça. Vous gagnez de l'argent en travaillant ici, et pourtant vous ne vous en servez pas pour vous payer des meubles, de la nourriture, ect... Mais à quoi il vous sert?!
-Revenons à notre sujet s'il vous plait.
-Mais en fait vous êtes tous des gros menteurs ici! Vous nous dites de faire ceci cela pour vivre le mieux possible, mais vous faites tout le contraire.
-Bon Stan! Taisez vous! Laissez moi parler, et ne changez pas de sujet de conversation pour essayer de me destabiliser. Je ne suis pas un de vos professeurs.
-Ah oui c'est vrai! Le prof de Français l'année dernière. J'ai appris qu'il avait esayer de se suicider pendant son arrêt maladie. Il va comment? Le soleil ne l'a pas trop brulé?
Je me rappelais que l'année dernière j'avais poussé un prof à la dépression avec mes conneries en classes et avec ma technique pour lancer un autre sujet contre eux. Pauvre type!
-Il va mieux. Mais il ne veut plus être profeseur. Merci! Nous avons du en cherchr un autre d'urgence.
-Ca a pas du être facile. J'espère pour vous qu'il est mieux. Parce que je suis difficile en classe. J'espère que ce n'es pas une fille, Vic' va être jalouse de me voir draguer la prof pour avoir de bonnes notes, et pour faire sauter mes heures de colles.
-C'est un homme. Etant humain il commendait dans l'armée. Il ne se laisse pas impressionner par des ânes comme vous.
-Ah c'est vexant ça! Mon animal est un tigre. Demandez au prof de Chasse, il a été bléssé l'année dernière quand il a voulu me prendre ma proie, dis-je amusément.
-Vous ne pouvez pas vous empêchez d'emmerder votre monde hein?
-Mais où est passé le charmant vocabulaire du début de notre entretient? Et du début des autres entretients de l'année dernière?
Ca y est, il commeçait à craqur, j'avais gagné et il le savait. Ce n'est qu'une question de temps avant qu'il me demande de sortir en me disant : "Evitez de faire des anneries à l'avenir" et je répondrais : "Oui oui Monsieur" alors que par derrière je dirais : "Ouais c'est ça!".
-Il est partit. Maintenant écoutez moi bien. Je ne suis pas ici pour être votre ami. Et vous le savez. Le premier avertissement tombe auourd'hui. Comme vous le savez, tous les trimestres on les effacent, mais au bout du troisième dans un seul trimèstre, on vous dit "Bye-Bye!", vous êtes renvoyé et vous n'avez pas de 4ème chance. Vous ne pourrez jamais revenir dans l'établissement.
-Vous n'avez pas le droit d'appliquer ce règlement seulement pour quelques élèves, pendant les vacances je me suis informé.
-Ouah! Première fois que vous vous informez de votre vie!
-Vous devenez vexant.
-Et vous vous êtes de plus en plus proche du renvoit.
-De toutes façons vous ne pouvez pas m'appliquer cette règle, puisque tous les élèves n'y ont pas le droit.
Coincé!
-L'année dernière vous avez faillit partir. Mais malheureusement, votre petite amie vous a sauvée la mise. N'oubliez pas l'accord que nous avons passé avec son père.
-Je ne me rapel pas, mentis-je.
Biensur que je m'en rapel. Ce jour là il m'avait convoqué pour me l'annoncer. J'étais dans ma chambre à ranger mes affaires dans ma valise, pas trise ni dégouté mais assez mal. J'avais déccidé de ne rien dire à Victoria. Je ne sais pas comment elle l'a su, mais elle est venue dans la chambre comme une folle, en pleur, à me dire des trucs du genre : "Pourquoi t'as fais le con comme ça?!" "T'es complètement débile!" "Maintenant on ne va plus pouvoir se revoir!". Je l'ai sérré dans mes bras. J'ai refermé ma valise, elle a appellé son père. On m'a convoqué dans le bureau du principal le lendemin, et on a passé cet accord. Victoria était comme une folle et moi j'ai remercié son père à plusieurs reprises.
-Vous êtes sur? L'accord passé avec Mr Kyle, dans mon bureau, au milieu de l'année dernière. L'accord qui disait que dans un trimstre, si vous aviez trois avertissement c'était la porte, sans négociations possible, Victoria doit s'en rappeller, elle.
-Vous n'avez aucunes preuves de ce que vous avancez.
Il me sortit du tiroir de son bureau un papier plastifié où le "Contra" était signé de sa main, de la mienne et de celle du père de Vic'.
-Tres bien, alors vous ne me reprendrez pas, enfin, peut-être une fois, mais pas trois. Pas ce trimestre en tout cas.
-Je vous aurais à l'oeil. Ca vous pouvez en être sur.
-Mais j'y compte bien! Bon, je peux partir maintenant? Ah et n'oubliez pas, vous, que le contrat stipule que les avertissements sont pour : "Les gros délits", citais-je en montrant ce qu'il y avait écrit sur le papier. Ligne 43 paragraphe 3.0
-Apprennez vos cours comme ça et vos aurez de meilleurs résultats.
-Ouais j'y penserais quand j'aurais quitter cet endroit.
Je me leva et sortis du bureau, mon sac sur le dos, et fier de moi pour l'avoir emmerdé.
-Quel abrutis!



Victoria, Je t'aime.


Mon tigre!
  • Liens sponsorisés